Combien de fois ai-je été touriste dans ma propre vie ?
Ma réponse a évolué avec le temps, mais j’ai toujours aimé sortir de ma zone de confort et aller vers l’inconnu.
Quand j’étais plus jeune, une grande partie de cette exploration a eu lieu physiquement et à l’étranger. J’ai fait beaucoup de choses et ai beaucoup voyagé. Parfois avec du danger.
Soigner des fauves (bien vivants) au Zimbabwe. Se faire braquer avec des armes au Burkina Faso. Prendre le train de nuit en Inde. Par exemple.
Les grands espaces et le danger étaient ce qui me permettaient de me sentir vivante.
Ces dernières années, mon exploration est devenue plus intérieure. Oui, je voyage toujours. J’aime toujours les terres étrangères, mais l’exploration la plus profonde, l’engagement à un niveau qui me fait parfois peur vient davantage de la pose d’une lampe frontale et d’une descente dans mon esprit, mes émotions et mon ressenti. Dans la façon dont je me relie et m’ouvre (ou pas) à moi-même et aux autres.
Au cours des 2 dernières années, j’ai eu l’impression que je me frayais un chemin vers l’étape suivante où ces mots – voyage, aventure, interaction, prise de conscience, contemplation, réflexion et expression – tissent ensemble un sens plus holistique à la découverte et la révélation. Avec l’envie de vivre plutôt que de regarder les autres faire.
Ai-je passé du temps sur le siège passager ? Oui, c’est certain. Comme nous tous. Sans jugement.
Mais j’aime penser que j’ai été un peu plus exploratrice qu’observatrice.
Je me sens de plus en plus à l’aise pour prendre le volant maintenant. Et me demander joyeusement : pour aller où ?
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Petit rappel de ce que tu trouveras sur mon site :
– mon ebook « Surdoué ? Moi ??! »
– comment te faire coacher
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– 3 articles :
* 5 étapes pour trouver ton objectif professionnel
* le sentiment de décalage
* la remise en question permanente
Comment expliquer un parcours professionnel « instable »
Le changement fréquent d’emplois est de plus en plus courant, notamment chez les jeunes générations. Les travailleurs de la génération Y (millennials) et Z changent plus fréquemment de travail à la recherche de meilleures opportunités, de conditions de travail plus flexibles, ou pour aligner leur emploi sur leurs valeurs personnelles. Toutefois, bien que cette pratique soit de moins en moins stigmatisée, certains recruteurs continuent de percevoir ces parcours comme des signes de déloyauté ou d’instabilité professionnelle.