LA juste place n’existe pas en tant que telle. L’évolution de l’être est permanente et oblige ainsi à des remises en question régulières. Ce qui est ma place aujourd’hui pourra ne plus l’être demain, en fonction de mon épanouissement quotidien.⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀
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Il est donc important de se poser régulièrement la question « Ce que ce que je fais, ou ne fais pas, est-ce juste pour moi ? ». “Juste” se comprend non pas au niveau de la justice mais de la justesse.⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀
Suis-je bien en accord avec ce que je fais, ce que je dis, la façon dont je me comporte ?⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀
Si oui, je suis à ma plus juste place.⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀
Si je doute, ou si je réponds non à cette question, alors il va falloir m’adapter, travailler pour tendre vers ma nouvelle place.⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀
Cela passe notamment par la remise en question de mes croyances. M’appartiennent-elles vraiment ou sont-elles issues de mon éducation ou de mon entourage ? ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀
Sont-elles actuelles dans ma vie d’aujourd’hui ou me faut-il les mettre à jour, en changer ? ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀
Mes croyances sont-elles des ressources ou des limites ?⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀
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Lorsque je me sens en accord avec moi-même, j’établis un meilleur rapport avec le monde et les autres. C’est là que je me sens à ma place : centré.e et en même temps ouvert.e, accueillant.e pour mon entourage et mon environnement. Prêt.e à donner le meilleur de moi-même et à recevoir en échange, sans jugement, sans comparaison ni jalousie, en partage et en paix.
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Lorsque je suis à ma juste place, je sens que je suis capable de m’assumer moi-même.
Je suis conscient.e de tous mes potentiels, de mes ressources.
Je vis pleinement mon indépendance et ma relation au monde sans dichotomie.
Je suis heureux/se d’être moi.
Comment expliquer un parcours professionnel « instable »
Le changement fréquent d’emplois est de plus en plus courant, notamment chez les jeunes générations. Les travailleurs de la génération Y (millennials) et Z changent plus fréquemment de travail à la recherche de meilleures opportunités, de conditions de travail plus flexibles, ou pour aligner leur emploi sur leurs valeurs personnelles. Toutefois, bien que cette pratique soit de moins en moins stigmatisée, certains recruteurs continuent de percevoir ces parcours comme des signes de déloyauté ou d’instabilité professionnelle.