Est-ce que mon projet va prendre plus de temps que je ne l’imagine pour se réaliser ?
Combien de temps ça va prendre pour que je ne lutte plus ?
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Jusqu’où dois-je être persévérant.e ? À quel moment reconnaître que je dois abandonner ?
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Ces questions sont encore plus présentes quand on est impatient, avec de nombreux centres d’intérêt et qu’on n’est pas encore passé de l’autre côté du miroir : y arriver.
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Regarder les exemples d’autres personnes est inspirant pour prendre un peu de hauteur :
– W. Disney à qui ça a pris 10 ans avant qu’un de ses dessins animés devienne populaire
– Tesla a commencé à être rentable 10 ans après sa création
– J. K. Rowling a reçu 10 lettres de rejet pour Harry Potter
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Et ces groupes de musique qui ont un succès comme sorti de nulle part, mais qui sortent des albums depuis 10 ans.
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Est-on prêt à persévérer 10 ans dans la même direction ? Comment fait-on pour survivre aux rejets ?
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La réponse est : aimer ce qu’on fait peu importe le succès, le nombre de likes ou le chiffre d’affaires. Ce qui permet la ténacité.
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Et se demander si avec Internet et les réseaux sociaux, on peut réussir plus vite, n’est pas la bonne question. Si on ne peut pas imaginer que son projet pourra prendre des années pour être rentable, on est perdant avant même d’avoir commencé.
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Et quand on est une personne qui veut faire plaisir aux autres et réussir du 1er coup, hormis les conséquences d’un échec, on s’imagine aussi qu’il va nous faire perdre quelque chose qu’on ne pourra jamais récupérer comme l’estime de telle personne.
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C’est là qu’il faut changer sa manière d’envisager l’échec. Essayer d’éviter l’inconfort de l’échec est un bon moyen de ne pas atteindre l’objectif espéré. L’échec fait partie du chemin.
Comment expliquer un parcours professionnel « instable »
Le changement fréquent d’emplois est de plus en plus courant, notamment chez les jeunes générations. Les travailleurs de la génération Y (millennials) et Z changent plus fréquemment de travail à la recherche de meilleures opportunités, de conditions de travail plus flexibles, ou pour aligner leur emploi sur leurs valeurs personnelles. Toutefois, bien que cette pratique soit de moins en moins stigmatisée, certains recruteurs continuent de percevoir ces parcours comme des signes de déloyauté ou d’instabilité professionnelle.