Avoir confiance en soi passe (également… Ce post est la suite de celui d’hier) par s’écouter, c’est-à-dire écouter ses ressentis et ses jugements, et non se cacher derrière les « vérités » des autres, des traditions ou des religions.
Car quand tu fais ça, que fais-tu réellement ? Et bien, tu as peur de te faire confiance, tu as peur de ta propre vérité. Tu ne conçois pas que ce qui est en toi, puisse être valable.
4 pistes pour développer ta confiance en toi :
❇️ Offre-toi des moments où tu t’écoutes : méditation, course, yoga, écriture, marche, recueillement, accompagnement…
Et fais-en une habitude pour soutenir ta volonté.
❇️ Cette écoute de toi te permettra aussi de distinguer l’urgent de l’important, car l’urgent sape ta capacité de jugement.
Si c’est urgent, est-ce que c’est important pour toi ? Cette question te permettra de te recentrer sur ce que tu as à faire.
❇️ T’accueillir dans ta totalité :
🔹Avec ton passé, sans occulter le sombre, sans chercher à voir le verre à moitié plein et sans t’auto-saboter en voyant le verre à moitié vide.
🔹Dans ta totalité veut aussi paradoxal.e et changeant.e.
🔹Sans te soumettre à tes tyrannies intérieures et aux vérités extérieures.
❇️ Te connecter à la beauté comme contempler un beau ciel ou t’émouvoir d’une chanson.
Dans ces moments-là, tu ne doutes pas une seconde : c’est beau.
Il en faut de la confiance pour énoncer une telle vérité, non ?!
La beauté te connecte au plus profond de toi, sans te fier à l’autre, son avis, son jugement, ses critères.
Elle permet de réapprendre à te faire confiance et à oser être toi. En toute liberté.
Te connecter à la beauté est aussi renouveler ta confiance en la vie et les autres, dans une universalité.
Cite-moi en commentaire quelque chose que tu trouves profondément beau.
Comment expliquer un parcours professionnel « instable »
Le changement fréquent d’emplois est de plus en plus courant, notamment chez les jeunes générations. Les travailleurs de la génération Y (millennials) et Z changent plus fréquemment de travail à la recherche de meilleures opportunités, de conditions de travail plus flexibles, ou pour aligner leur emploi sur leurs valeurs personnelles. Toutefois, bien que cette pratique soit de moins en moins stigmatisée, certains recruteurs continuent de percevoir ces parcours comme des signes de déloyauté ou d’instabilité professionnelle.