Dans ma tête, ce matin
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Envie : aller prendre un bain.
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Pensées : ça va te prendre 20-30 mn. Tu pourrais occuper plus utilement ce temps. Être plus productive.
Ce n’est pas écolo.
Et puis, pourquoi prendre un bain ? Ça te sert à quoi ?
[Reprendre la 1re pensée et répéter]
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Stop. Écouter mon envie. Me connecter à mon plaisir. Faire confiance à mon envie.
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Sentir l’eau chaude et me rappeler combien j’aime ça.
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M’immerger.
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Repenser à mes 6 derniers mois professionnels.
Si je les copie-colle sur les 6 prochains mois, est-ce que je serai contente de là où je serai ?
Non, pas totalement.
Qu’est-ce qui ne me convient pas ?
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J’ai envie de plus de légèreté pour me permettre de continuer à explorer dans diverses directions et de les ramener en coaching.
Je veux plus d’engagement de ma part aussi.
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Je sens que ma connaissance est vraiment ma force et que mon talent est de débusquer en coaching, dans l’énergie des mots prononcés, quand la personne se raconte des histoires ou est juste.
Comment faire ça encore plus ?
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Faire des RDV de coaching d’1h30 pour les personnes bloquées, dans le brouillard, pour rendre utile mon talent et partager mes connaissances, dans des domaines variés : haut potentiel, multipotentialité, hypersensibilité, méditation, relaxothérapie analytique, écriture, psychanalyse jungienne, travail sur l’enfant intérieur, gestalt thérapie, états de conscience modifiée, yoga, clean language, etc.
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J’ai l’image d’un panneau intelligent avec plein de directions, qui écouterait le voyageur perdu, le questionnerait, lui ferait faire de la clarté sur ses besoins/envies/objectifs, et lui donnerait des pistes à suivre.
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Me dire, en souriant, que c’était bien de prendre un bain 😊🛀
Comment expliquer un parcours professionnel « instable »
Le changement fréquent d’emplois est de plus en plus courant, notamment chez les jeunes générations. Les travailleurs de la génération Y (millennials) et Z changent plus fréquemment de travail à la recherche de meilleures opportunités, de conditions de travail plus flexibles, ou pour aligner leur emploi sur leurs valeurs personnelles. Toutefois, bien que cette pratique soit de moins en moins stigmatisée, certains recruteurs continuent de percevoir ces parcours comme des signes de déloyauté ou d’instabilité professionnelle.