Je suis haut potentiel, hypersensible et multipotentielle.
Et je crée une vie qui me plaît et qui me remplit de joie.
Je cherche, j’apprends à me connaître, je teste des choses, j’en retiens certaines. J’en laisse d’autres de côté.
Je guéris mes blessures. Je me libère.
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J’étais une enfant qui ne supportait pas le cadre familial, qui attendait que sa « vraie » famille vienne la chercher et qui se rêvait autonome, dans sa maison à elle.
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J’étais une ado qui croyait que le monde lui appartiendrait, qui était convaincue que quand on veut, on peut, qui lisait beaucoup, qui s’ennuyait beaucoup aussi et qui voyageait, dans sa tête, aux confins de la galaxie.
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J’étais une jeune adulte qui a pris la réalité du monde en pleine figure, qui a fait de longues études pour (se) prouver ses capacités et essayer de trouver dans quelle case entrer et qui s’est éteinte.
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J’étais une adulte qui grâce à un diagnostic difficile, a progressivement appris à se connaître et à s’écouter, est allée à la rencontre de ce qui la fait pétiller, s’est de nombreuses fois remise en question et a osé changer.
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Je suis une adulte forte de ce chemin, avec mes blessures, épanouie, en constante progression, avec ses joies et ses doutes.
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Aujourd’hui, je vous partage, au travers du coaching (lien dans ma bio), les outils qui m’ont permise de sortir de l’incompréhension de qui j’étais, d’avancer dans ma quête de sens et de devenir sereine : des techniques de connaissance de soi et de libération, la méditation, l’écriture…
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Croyez en vous. Avancez un pas après l’autre.
Allumez votre lumière.
Comment expliquer un parcours professionnel « instable »
Le changement fréquent d’emplois est de plus en plus courant, notamment chez les jeunes générations. Les travailleurs de la génération Y (millennials) et Z changent plus fréquemment de travail à la recherche de meilleures opportunités, de conditions de travail plus flexibles, ou pour aligner leur emploi sur leurs valeurs personnelles. Toutefois, bien que cette pratique soit de moins en moins stigmatisée, certains recruteurs continuent de percevoir ces parcours comme des signes de déloyauté ou d’instabilité professionnelle.