J’ai envie de vous partager ma compréhension du jour.
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J’ai la capacité de comprendre finement l’autre, sans doute grâce à un cocktail composé de mon hypersensibilité, de mon sens de l’observation et de mes neurones miroirs notamment.
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Capacité très utile en tant que coach, car j’ai alors la sensation d’être au plus près de ce qui passe à l’intérieur de la personne en face de moi.
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Mais ce n’est pas quelque chose que je fais sur commande. Je le fais tout le temps plus ou moins : plutôt plus en RDV de coaching et plutôt moins dans le métro par exemple. Et ça dure le temps de l’interaction avec la personne face à moi.
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Je le fais donc aussi dans mes relations personnelles.
Et ce matin, j’ai pris conscience que quand il y a de l’émotionnel dans l’interaction avec l’autre, et bien, c’est comme si je ne me débranchais pas de l’autre.
J’ai alors la sensation de continuer à voir le monde avec les lunettes de l’autre, même une fois l’interaction terminée, c’est-à-dire hors sa présence, et de perdre mon axe intérieur.
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Même si c’était inconfortable, j’étais contente de voir ce mécanisme à l’intérieur de moi.
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Ma solution pour retrouver mon axe a été de faire une longue méditation ce matin.
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Et toi, est-ce que ça t’arrive aussi ? Ou quelque chose de similaire ?
Je suis curieuse de connaître tes solutions pour retrouver ton axe 😊
Comment expliquer un parcours professionnel « instable »
Le changement fréquent d’emplois est de plus en plus courant, notamment chez les jeunes générations. Les travailleurs de la génération Y (millennials) et Z changent plus fréquemment de travail à la recherche de meilleures opportunités, de conditions de travail plus flexibles, ou pour aligner leur emploi sur leurs valeurs personnelles. Toutefois, bien que cette pratique soit de moins en moins stigmatisée, certains recruteurs continuent de percevoir ces parcours comme des signes de déloyauté ou d’instabilité professionnelle.