Quand on n’est pas très présent.e et toujours en train de penser à hier ou à demain ou à quelque chose qui s’est passé il y a 10 ans ou se passera dans 10 ans, on ne passe pas notre temps là où la vie se déroule.
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Ce qui a un impact sur nos relations : on ne ressent pas la profondeur et la connexion qu’on aimerait.
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Ce qui a aussi un impact sur la variété des émotions qu’on ressent qui est faible : on ressent beaucoup plus le stress et l’anxiété et très rarement les émotions positives comme la joie.
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Être conscient.e permet de se reconnecter à toute la palette des émotions, pas seulement les émotions positives, car la vie est faite de hauts et de bas.
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Être présent.e est la 1re étape pour être pleinement humain.e et expérimenter des situations et des relations épanouissantes.
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Être conscient.e permet aussi de se reconnecter à son corps pour sentir ce qui s’y passe, comme notre intuition qui nous indique par exemple si une situation est bonne pour nous ou non, et pour avoir de la clarté sur la direction à prendre dans sa vie, sur ce qui nous passionne.
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Enfin, être conscient.e nous donne les outils pour défaire les programmes inconscients qui nous maintiennent bloqués (cf. mon post du 19 nov. 2019).
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Et là, être pleinement conscient.e va nous permettre de créer de nouveaux choix et de nouvelles habitudes.
Comment expliquer un parcours professionnel « instable »
Le changement fréquent d’emplois est de plus en plus courant, notamment chez les jeunes générations. Les travailleurs de la génération Y (millennials) et Z changent plus fréquemment de travail à la recherche de meilleures opportunités, de conditions de travail plus flexibles, ou pour aligner leur emploi sur leurs valeurs personnelles. Toutefois, bien que cette pratique soit de moins en moins stigmatisée, certains recruteurs continuent de percevoir ces parcours comme des signes de déloyauté ou d’instabilité professionnelle.