L’un des principaux sujets que mes client.e.s apportent en coaching, est souvent celui d’un blocage pour passer à l’action.
Ce blocage peut être causé par diverses choses :
🔸Un manque de clarté sur là où tu veux aller
🔸Tu te racontes des histoires sur ton (futur) projet, par exemple pour ne pas regarder le projet qui te ferait vraiment vibrer et continuer inconsciemment de t’auto-saboter
🔸Ne pas prendre ta responsabilité et conserver (souvent inconsciemment) une posture de victime, ex. : je ne me fais pas aider là où j’en ai besoin, je crois que la vie m’envoie des signes me disant que ce n’est pas le moment…
🔸La peur
🔸Et sans doute plein d’autres raisons…
Parmi ces blocages pour ne pas passer à l’action, j’ai envie de me concentrer ici sur la peur :
🔸La peur du jugement
🔸La peur d’être un imposteur
🔸La peur de ne pas tout maîtriser
🔸La peur d’être rejeté.e
🔸La peur de faire un choix
🔸La peur d’échouer
🔸La peur d’y arriver (et du vide qui pourrait suivre par ex.)
🔸La peur d’écraser les autres
🔸La peur d’être inintéressant.e, à côté de la plaque, ridicule
🔸La peur que ce ne soit pas le bon projet
🔸Etc.
Dans ce cas, qu’est-ce que la peur ?
C’est un panneau de signalisation au bord de ton chemin pour t’indiquer que tu sors de ta zone de confort.
Il n’y a aucun danger réel. Ce n’est ni une maladie mortelle, ni une bête féroce.
Ce n’est rien d’autre qu’une information.
La peur ne t’empêche pas d’avancer. Elle est même intimement liée au fait d’avancer.
Lorsque tu sors de ta zone de confort, tu te mets à apprendre de nouvelles choses.
Et qui dit « nouvelles choses », dit que tu ne les as jamais faites. D’où la peur… créée par ton ego qui préférerait que tu restes au chaud dans un espace connu : ta zone de confort.
Suite demain 😊
Comment expliquer un parcours professionnel « instable »
Le changement fréquent d’emplois est de plus en plus courant, notamment chez les jeunes générations. Les travailleurs de la génération Y (millennials) et Z changent plus fréquemment de travail à la recherche de meilleures opportunités, de conditions de travail plus flexibles, ou pour aligner leur emploi sur leurs valeurs personnelles. Toutefois, bien que cette pratique soit de moins en moins stigmatisée, certains recruteurs continuent de percevoir ces parcours comme des signes de déloyauté ou d’instabilité professionnelle.