Dans mon post d’hier, j’écrivais que ce sur quoi tu mets ton attention (= énergie) grandit.
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Ainsi, si tu prêtes plus attention au regard des autres qu’à toi-même, tu te sentiras bloqué.e. Et tes projets ne grandiront pas.
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Ça peut par exemple se traduire par la validation de ton projet par toute ta famille, la passation de 1001 certifications (ou tests, ça marche aussi), le fait de ne pas prendre soin de toi au point d’être épuisé.e, la boulimie de connaissances et la sensation qu’il y a toujours mieux à apprendre ailleurs…
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Tu as alors toujours l’impression qu’il te manque quelque chose : une certitude, une validation, un savoir…
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Pour la connaissance, c’est subtil : apparemment, on apprend pour soi et seulement soi. La question est ici : est-ce que ce que je souhaite apprendre me sert vraiment ou c’est une fuite pour ne pas passer à l’action ?
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Ton projet parle, avant tout, de toi et non des autres, que ce soit faire de la photographie, être naturopathe, écrire des romans, donner des cours… C’est donc à toi qu’il faut donner ton énergie pour faire grandir ton projet et qu’ensuite, il serve les autres.
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Comme dans cette image que j’aime bien : en cas de dépressurisation dans un avion, il faut d’abord mettre le masque à oxygène sur soi avant d’aider les autres.
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Alors, à quoi donnes-tu ton énergie en ce moment ?
Comment expliquer un parcours professionnel « instable »
Le changement fréquent d’emplois est de plus en plus courant, notamment chez les jeunes générations. Les travailleurs de la génération Y (millennials) et Z changent plus fréquemment de travail à la recherche de meilleures opportunités, de conditions de travail plus flexibles, ou pour aligner leur emploi sur leurs valeurs personnelles. Toutefois, bien que cette pratique soit de moins en moins stigmatisée, certains recruteurs continuent de percevoir ces parcours comme des signes de déloyauté ou d’instabilité professionnelle.