Cette semaine, j’ai choisi d’aborder la thématique de trouver un objectif professionnel quand on est attiré par plein de choses (= multipotentiel.le), car c’est une problématique que je rencontre souvent chez les personnes que je coache et dans les messages que vous m’envoyez.
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Aujourd’hui, j’aborde le sujet de la clarté.
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Puis, dans les 4 prochains jours, nous verrons : la décision, la peur paralysante du choix, les dead-lines et la motivation.
Plein d’infos pour trouver ton objectif professionnel !
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Allons-y !
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Le kif de ton cerveau, c’est de sauter d’une chose à l’autre.
Et tu n’es pas seulement bon.ne à ça, tu aimes ça.
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Mais le résultat et c’est sans doute pour ça que tu es en train de lire ce post, c’est qu’en passant constamment d’une chose à l’autre, tu ne t’investis dans rien au final.
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Pour commencer, la principale difficulté de ce mode de fonctionnement, comme tu le vis sans doute, est que tu n’as pas de clarté.
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Donc le 1er point pour toi, est de faire de la clarté sur ton objectif professionnel.
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De quel genre de clarté je parle ?
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Je vais te donner une image : quand tu es sous pression, genre le dos au mur où tu dois faire cette chose que tu repoussais depuis des jours, tu trouves alors la clarté nécessaire pour accomplir cette chose. Tu mets en place l’organisation et les ressources nécessaires pour la réaliser. C’est cette clarté que tu dois mettre dans ton projet professionnel.
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Aussi, tant que tu n’as pas trouvé ton objectif professionnel (= ce que tu veux faire de tes journées), ne t’arrête pas avant de l’avoir trouvé.
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Ton boulot, jusqu’à ce que tu aies choisi un boulot, est de te choisir un boulot.
Ce travail de clarté doit être ton boulot à plein temps.
Comment expliquer un parcours professionnel « instable »
Le changement fréquent d’emplois est de plus en plus courant, notamment chez les jeunes générations. Les travailleurs de la génération Y (millennials) et Z changent plus fréquemment de travail à la recherche de meilleures opportunités, de conditions de travail plus flexibles, ou pour aligner leur emploi sur leurs valeurs personnelles. Toutefois, bien que cette pratique soit de moins en moins stigmatisée, certains recruteurs continuent de percevoir ces parcours comme des signes de déloyauté ou d’instabilité professionnelle.