Je continue à te parler de la clarté car, comme déjà dit, c’est fondamental. Je ne peux pas dire mieux ! C’est le genre d’étape qui, si tu la loupes, peut te faire tourner en rond bien longtemps !
D’autant plus quand on a un mental qui a une fâcheuse tendance à la surchauffe… et à créer de la confusion.
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Voici d’autres exemples de domaines où j’apporte de la clarté, en complément de mes 2 posts précédents :
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💡 Être organisé.e, c’est mettre des limites physiques claires dans les choses qui m’entourent : du classement de mes papiers au rangement de mon lieu de vie.
Inspire-toi de l’incontournable Marie Kondo si besoin😉
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💡 Les Stoïciens pratiquaient la visualisation négative (oui, j’ai bien écrit « négative »!) : il s’agit d’imaginer le pire scénario pour accroître ma gratitude et ma tranquillité d’esprit au présent. Quand j’ai de la clarté sur ce dont j’ai peur, cela devient moins effrayant. Des monstres connus font moins peur que des monstres inconnus 🐲
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💡 Faire la liste des pours et des contres me permet de faire de la clarté sur les bons et les mauvais aspects d’une situation.
Très classique, mais on a un peu tendance à l’oublier, cette technique de clarification.
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💡 Apprendre efficacement se caractérise par identifier les idées et conseils qui me sont utiles… Et non binge-watcher sur YouTube (ou des articles/podcasts…) 😉
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Tous ces outils m’aident à avoir plus de clarté personnellement et professionnellement : dans mes coachings, dans l’organisation de mes journées de travail, sur la direction à prendre pour le développement de mon activité de coach, sur ce que j’attends d’une relation, etc.
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Et toi, sur quoi as-tu l’impression de manquer de clarté ? (ce qui est déjà un mini-effort de clarté 😉)

Comment expliquer un parcours professionnel « instable » lors d’un entretien

Le changement fréquent d’emplois est de plus en plus courant, notamment chez les jeunes générations. Les travailleurs des générations Y et Z, mais pas qu’eux, changent plus fréquemment de travail à la recherche de meilleures opportunités, de conditions de travail plus flexibles ou pour aligner leur emploi sur leurs valeurs personnelles. Toutefois, bien que cette pratique soit de moins en moins stigmatisée, certains recruteurs continuent de percevoir ces parcours comme des signes de déloyauté ou d’instabilité professionnelle.

Pourquoi le changement fréquent de postes est-il souvent mal perçu ?

Historiquement, le marché du travail valorisait la stabilité, avec une culture qui privilégie la fidélité à un employeur et les carrières à long terme, en particulier dans des secteurs traditionnels comme la fonction publique ou les grandes entreprises. Cependant, le contexte a changé avec la crise économique et l’essor du digital, qui favorisent des modèles de travail plus souples. Malgré tout, certains recruteurs voient toujours le changement fréquent de postes comme un manque d’engagement.

Pourquoi change-t-on de travail plus souvent ?

Plusieurs raisons expliquent cette tendance :

  1. Salaire et coût de la vie : Les grandes villes ont un coût de vie élevé, de nombreuses personnes cherchent des postes mieux rémunérés pour s’adapter aux réalités économiques locales.
  2. Valeurs personnelles et éthique : Les générations plus jeunes surtout, recherchent des entreprises qui reflètent leurs valeurs, qu’il s’agisse de responsabilité environnementale, d’égalité sociale ou de transparence.
  3. Équilibre travail-vie personnelle : Le besoin de flexibilité, notamment en termes de télétravail ou d’horaires, est devenu crucial, notamment après la pandémie. Les entreprises qui refusent ces nouvelles demandes, peinent à retenir leurs talents.
  4. Diversité et inclusion : Les jeunes recherchent des environnements de travail où ils peuvent être eux-mêmes, sans avoir à cacher ou minimiser leur identité. Ils veulent des employeurs qui s’engagent réellement pour la diversité et l’inclusion.

Comment aborder ce sujet en entretien ?

Si vous êtes confronté à une question sur votre parcours professionnel, voici quelques conseils pour justifier les changements fréquents :

  • Mettre en avant la recherche d’un alignement de valeurs : Expliquer que vous avez changé de poste pour trouver un environnement qui correspond mieux à vos valeurs personnelles ou à vos attentes professionnelles.
  • Souligner les contraintes économiques : Vous pouvez aborder les raisons financières (coût de la vie, salaires) pour justifier votre départ d’un poste précédent, surtout si l’employeur n’offrait pas une rémunération en adéquation avec vos besoins.
  • Équilibre personnel : Si vous avez quitté un poste en raison d’un manque de flexibilité ou d’un équilibre travail-vie personnelle insuffisant, vous pouvez expliquer que vous cherchez une entreprise où vous pourrez évoluer sans compromettre votre bien-être.
  • Satisfaction et engagement à long terme : Insistez sur le fait que vous recherchez maintenant un emploi où vous pourrez vous épanouir à long terme, avec une entreprise qui partage vos valeurs et où vous pouvez envisager de rester plus longtemps.

Conclusion : Un changement de poste réfléchi

Bien que les changements fréquents de travail puisse encore être perçu comme un risque par certains recruteurs, il est important de montrer que vos décisions sont bien motivées par des raisons légitimes, comme la recherche d’une meilleure rémunération, d’une flexibilité accrue ou d’un alignement de valeurs. Le bon employeur comprendra que ces choix sont faits dans un souci de bien-être et de développement professionnel.

Aude Saliner
Coach Révélatrice de potentiels singuliers

Comment expliquer un parcours professionnel « instable »

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Le changement fréquent d’emplois est de plus en plus courant, notamment chez les jeunes générations. Les travailleurs de la génération Y (millennials) et Z changent plus fréquemment de travail à la recherche de meilleures opportunités, de conditions de travail plus flexibles, ou pour aligner leur emploi sur leurs valeurs personnelles. Toutefois, bien que cette pratique soit de moins en moins stigmatisée, certains recruteurs continuent de percevoir ces parcours comme des signes de déloyauté ou d’instabilité professionnelle.

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