J’ai envie de te parler de « meilleure version de soi-même ».
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C’est une notion qui ne me parle pourtant pas trop, car je la trouve galvaudée et vide de réalité. Concrètement, je ne vois pas trop ce qu’est être cette meilleure version de moi-même, si ce n’est dans une course au parfait épanouissement hollywoodien, occultant notamment les inévitables moments down qu’on traverse tous cycliquement.
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Mais tout à l’heure, j’écoutais Laure Jouteau de @lesaventurieres parler de la meilleure version d’elle-même avec une approche concrète cette fois, dans chaque domaine de sa vie, en commençant ses phrases par « je veux être la meilleure … ».
J’ai trouvé ça pertinent et stimulant.
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J’ai fait l’exercice pour moi-même et côté pro, je peux dire qu’aujourd’hui, je veux être la meilleure coach de réalisation de soi pour les personnes qui ne se sentent pas à leur place ici.
Intitulé susceptible d’évoluer. Et c’est bien ce que j’aime aussi.
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J’aime la perspective du chemin que je vais parcourir pour devenir cette personne : un chemin d’apprentissages qui va me faire vivre la meilleure version de ma vie.
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Et toi, que veux-tu devenir comme ‘meilleure version’ professionnellement ?
Vas-y, lance-toi dans les commentaires.
Il n’y a pas de réponses mauvaises ou définitives.
Nous sommes tous sur un chemin d’apprentissages.
Comment expliquer un parcours professionnel « instable »
Le changement fréquent d’emplois est de plus en plus courant, notamment chez les jeunes générations. Les travailleurs de la génération Y (millennials) et Z changent plus fréquemment de travail à la recherche de meilleures opportunités, de conditions de travail plus flexibles, ou pour aligner leur emploi sur leurs valeurs personnelles. Toutefois, bien que cette pratique soit de moins en moins stigmatisée, certains recruteurs continuent de percevoir ces parcours comme des signes de déloyauté ou d’instabilité professionnelle.