En ce moment, je fais un travail personnel qui me demande d’aller regarder en moi les situations passées pour lesquelles j’éprouve encore du ressentiment : des situations où je me suis sentie rejetée ou trahie par exemple.
Tout ça pour mieux m’en libérer. Je ne suis pas maso ! 😉
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Mais comment vous dire que je traîne bien des pieds pour bosser là-dessus… tellement c’est inconfortable !
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Et là, je vois ré-émerger un bon vieux schéma bien connu d’un certain nombre d’entre nous : la fuite dans la nourriture.
L’envie d’aller se faire plaisir/rassurer/consoler avec quelque chose de bon, plutôt que de se coltiner l’inconfort.
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Je rêve d’énormes cookies pour ma part en ce moment 🍪
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Émotions et alimentation sont intimement liées. Et les compulsions permettent de se remplir d’autres choses que de ce qu’on ne veut pas voir.
Elles permettent de -se- mettre à distance… temporairement et au prix de toute une palette d’autres émotions : tentation, négociation, plaisir, écœurement, honte, culpabilité…
Et l’estime de soi qui en prend un coup au passage.
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De mon côté, j’ai conscience qu’il s’agit d’une tentative de diversion.
J’ai conscience que c’est pour ne pas aller dans un inconfort émotionnel.
J’ai conscience qu’il apparaît certainement plus inconfortable qu’il ne l’est réellement.
J’ai conscience que si je traverse mon émotion, l’envie de diversion disparaîtra.
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Alors j’accueille cette partie de moi qui a peur et la rassure. C’est OK d’avoir peur.
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On est ensemble et je sais qu’on peut le faire.
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Et peut-être même qu’après, je m’offrirai un énorme cookie pour me féliciter !! 😁
Comment expliquer un parcours professionnel « instable »
Le changement fréquent d’emplois est de plus en plus courant, notamment chez les jeunes générations. Les travailleurs de la génération Y (millennials) et Z changent plus fréquemment de travail à la recherche de meilleures opportunités, de conditions de travail plus flexibles, ou pour aligner leur emploi sur leurs valeurs personnelles. Toutefois, bien que cette pratique soit de moins en moins stigmatisée, certains recruteurs continuent de percevoir ces parcours comme des signes de déloyauté ou d’instabilité professionnelle.