Ces derniers jours, je me sentais lourde et un peu stressée.
Je ne cherchais pas à savoir pourquoi. J’espérais juste que ça allait passer. Je n’écoutais pas les signaux de mon corps… Jusqu’à ce matin où j’ai exploré par l’écriture, ces sensations physiques.
.
J’ai découvert que j’avais des peurs autour de mon webinaire de jeudi 28 : peur de dire des platitudes, de ne pas être claire, de ne pas répondre à tes attentes, que la technique merdouille…
.
En décrivant mes peurs, ça m’a permis de voir qu’il n’y avait aucun réel danger et qu’elles étaient là pour me signaler que je sors de ma zone de confort, comme des panneaux de signalisation sur mon chemin.
.
En visualisant que je sors de ma zone de confort, je me suis alors souvenue du dessin que je t’ai mis en illustration. Au-delà de mes zones de confort et de peur, il y a la zone d’apprentissage.
.
Et en passant au-dessus de mes peurs, je peux te dire que je kiffe être dans cette zone d’apprentissage !
.
Effet collatéral : je constate alors que mes peurs ont beaucoup réduit en intensité. Yeah !
.
Et après la zone d’apprentissage… Il y a la zone où on vit avec ses valeurs et ses talents, à sa place ✨
.
Voilà, je voulais partager avec toi un exemple bien concret de situation qui réveille de nouvelles peurs pour moi et comment le travail sur soi permet d’avancer.
.
Et toi, dans quelle zone te sens-tu en ce moment ?
Comment expliquer un parcours professionnel « instable »
Le changement fréquent d’emplois est de plus en plus courant, notamment chez les jeunes générations. Les travailleurs de la génération Y (millennials) et Z changent plus fréquemment de travail à la recherche de meilleures opportunités, de conditions de travail plus flexibles, ou pour aligner leur emploi sur leurs valeurs personnelles. Toutefois, bien que cette pratique soit de moins en moins stigmatisée, certains recruteurs continuent de percevoir ces parcours comme des signes de déloyauté ou d’instabilité professionnelle.