Je vous partage la suite de mon texte d’hier.
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« Je ne me sens pas adapté.e » – 2/4
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Lorsque tu ne te sens pas capable de vivre selon tes critères de perfection, tu peux être envahi.e par la culpabilité ou la honte. L’impression persistante d’être moins que les autres peut dominer ta vie, allant parfois jusqu’à la dépression.
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Bien qu’il soit souvent difficile de le voir ou de le comprendre, cette dynamique présente un avantage : elle te donne un axe, de la discipline et la capacité de travailler dur. Cela te rend aussi plus pratique : tu comprends les réalités de la vie et peux les naviguer efficacement et de manière raisonnable.
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Mais il y a une frontière fine entre cette énergie qui structure ta volonté et celle qui t’aide à canaliser tes compétences et talents de manière productive et équilibrée. En réponse à cela, tu peux te sentir incapable de poursuivre ce que tu veux ou de t’engager pleinement dans quelque chose que tu aimes, parce que tu penses ne pas le mériter.
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Tu veux te faire confiance, mais cette impulsion pourrait immédiatement être suivie de doutes.
Et si tu acceptes de de suivre ton instinct, tu imagines qu’il y aura forcément des conséquences : de ton point de vue, tu ne peux pas simplement agir sans effort.
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En conséquence, tu peux être réactif/ve ou critique envers les autres, ce qui te crée du ressentiment et de la colère. Et ta colère accumulée ne peut être contenue pendant longtemps. Ton anxiété pourrait alors s’exprimer de manière passive-agressive, avec toute la tension se trouvant juste sous la surface.
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Suite demain avec la 3e partie de ce texte… 🙂
Comment expliquer un parcours professionnel « instable »
Le changement fréquent d’emplois est de plus en plus courant, notamment chez les jeunes générations. Les travailleurs de la génération Y (millennials) et Z changent plus fréquemment de travail à la recherche de meilleures opportunités, de conditions de travail plus flexibles, ou pour aligner leur emploi sur leurs valeurs personnelles. Toutefois, bien que cette pratique soit de moins en moins stigmatisée, certains recruteurs continuent de percevoir ces parcours comme des signes de déloyauté ou d’instabilité professionnelle.