L’un des poisons de la confiance en soi est la comparaison, que (notamment mais pas que) les réseaux sociaux rendent particulièrement facile, qu’on en soit conscient ou non.
La comparaison est la certitude pour toi d’être perdant.e à tous les coups. Tu trouveras toujours quelqu’un pour te sentir moins bien que lui/elle, sur un aspect ou un autre.
Te comparer, c’est oublier que tu es unique, singulier.e.
Quand tu vis et affirmes ta singularité, la seule comparaison que tu fais, c’est avec toi-même : avec la personne que tu étais hier ou il y a 1 an.
Et ton progrès te permet de gagner confiance en toi.
Te faire confiance, c’est écouter et suivre ton désir et non les normes et les obstacles.
La connexion à ce qui compte pour toi, à ton désir est le moyen de rester sur ton axe et de progresser. Elle fait tomber toute tentation de comparaison, car les autres sont sur d’autres chemins, avec d’autres désirs.
Et t’appuyer vraiment sur ton désir permet d’avoir confiance en toi (cf. mes posts sur comment trouver ce que tu aimes quand tu aimes 1000 choses du 18 mars 2019 ou du 27 mai 2019 par exemple).
Te faire confiance, c’est aussi faire confiance en la vie qui, quoi qu’il se passe, te porte ou t’instruit.
La confiance en toi te demande de la maîtrise, mais aussi de t’abandonner à ce qui t’échappe : le mystère de la vie, du cosmos, de plus grand que soi…
Et… pour finir, s’il n’y avait pas de doutes, il n’y aurait pas de confiance 🙂
Est-ce que cette série de posts sur la confiance en soi t’a plu ?
Qu’est-ce qui t’a le plus marqué ? 🙂
Source d’inspiration de ces posts : « La confiance en soi », Charles Pépin
Comment expliquer un parcours professionnel « instable »
Le changement fréquent d’emplois est de plus en plus courant, notamment chez les jeunes générations. Les travailleurs de la génération Y (millennials) et Z changent plus fréquemment de travail à la recherche de meilleures opportunités, de conditions de travail plus flexibles, ou pour aligner leur emploi sur leurs valeurs personnelles. Toutefois, bien que cette pratique soit de moins en moins stigmatisée, certains recruteurs continuent de percevoir ces parcours comme des signes de déloyauté ou d’instabilité professionnelle.