Comment décider d’aller dans l’incertitude malgré le doute ?
Dois-je quitter mon poste pour cette proposition ? Dois-je changer de ville ?
Toute décision comporte une part de risque.
Si tu ne saisis pas ton pouvoir de décision, ta vie peut être une suite de non choix (qui en sont quand même en fait). Et tu auras la sensation qu’elle te file entre les doigts et ta confiance avec.
Décider, c’est agir avant de savoir.
Tu ne peux pas attendre d’avoir éliminer tous doutes pour décider et avancer. Car c’est impossible.
Imagine combien ta vie serait terne si tout était prévisible, calculable. Et pourtant ta liberté peut t’angoisser. Ton déni de l’incertitude peut être épuisant.
Ta confiance en toi est aussi le reflet de ta capacité à t’ouvrir à l’incertitude et à aimer ta liberté, plutôt qu’à la craindre.
❇️ Pour faire grandir ta capacité à décider, tu peux t’entraîner à décider rapidement pour des petites choses : un plat au restaurant, ta tenue du jour, etc.
Tu perds également confiance en toi quand tu fais de moins en moins de tes mains.
En effet, tu vois moins les effets de tes actions, alors que c’est porteur de sens, de fierté et de joie du travail fait.
Ça peut même te faire douter de l’utilité de ton travail (bonjour bullshit job), ce qui entame ta confiance.
Le manque de « faire » concret dans ton métier te déconnecte du plaisir et de l’expression de qui tu es.
En résumé, ne plus rien créer de tes mains contribue également à la perte de confiance en toi.
Oui, ça s’adresse notamment à toi, perché.e dans ton mental 😉
❇️ En faisant, tu te façonnes toi-même. Et c’est là que tu révèles ton intelligence. D’où notamment le goût pour le DIY, la permaculture, l’artisanat, etc.
Sans forcément changer de vie demain, faire quelque chose avec tes mains est donc porteur de plus de confiance en toi.
Et toi, que vas-tu faire de tes 10 doigts aujourd’hui ?
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Comment expliquer un parcours professionnel « instable »
Le changement fréquent d’emplois est de plus en plus courant, notamment chez les jeunes générations. Les travailleurs de la génération Y (millennials) et Z changent plus fréquemment de travail à la recherche de meilleures opportunités, de conditions de travail plus flexibles, ou pour aligner leur emploi sur leurs valeurs personnelles. Toutefois, bien que cette pratique soit de moins en moins stigmatisée, certains recruteurs continuent de percevoir ces parcours comme des signes de déloyauté ou d’instabilité professionnelle.