La confiance en toi se développe dans l’action.
Mais tu peux dire : OK mais si je manque de confiance en moi, comment vais-je réussir à me lancer ?
En fait, quand tu te poses cette question, tu te mets une grande pression, en présupposant que TOUT dépend de toi. Tu oublies ce que ton action va faire bouger directement et indirectement. Et il y a de nombreux paramètres que tu ne maîtrises pas : la météo le jour J, l’humeur de ton interlocuteur, les bugs techniques…
Il ne s’agit en fait pas de confiance en toi, mais de confiance en ton action. Et l’action est libératrice, comme le comédien qui n’a plus le trac une fois sur scène.
En n’agissent pas, un cercle vicieux se met en place, qui détériore ta confiance.
Agir, c’est se donner la chance d’avoir de bonnes surprises. La chance se provoque.
Et donc, si tu n’as pas confiance en toi aujourd’hui, ce n’est pas grave. Tout change tout le temps. Et toi aussi : tu es un être en devenir. Alors prends confiance en ce que tu peux devenir.
Il peut se passer tellement de choses à partir du moment où tu agis : des rencontres, des synchronicités, des actions en réponse, etc. Et l’expression-même de confiance en soi perd de son sens, car elle donne trop d’importance à « soi » #lachetoilagrappe
Par ailleurs, quand tu traverses une crise de confiance, tu peux aussi t’appuyer sur ceux qui ont osé.
Qui admires-tu ?
Nourris-toi de leurs exemples. Leurs talents et leurs réalisations te parlent de la possibilité de ta propre réalisation.
Si c’est possible pour eux, c’est possible pour toi.
Il ne s’agit pas d’imiter (la singularité n’est pas copiable), mais de t’inspirer.
Et n’admire pas qu’une seule personne, mais plusieurs pour des aspects différents de leurs vies. Tu peux ainsi te créer ton mentor sur-mesure (cf. mon post du 28 octobre 2018 : https://www.facebook.com/…/a.13241615692…/1054943488008732/…).
Et toi, qui t’inspire ?
Comment expliquer un parcours professionnel « instable »
Le changement fréquent d’emplois est de plus en plus courant, notamment chez les jeunes générations. Les travailleurs de la génération Y (millennials) et Z changent plus fréquemment de travail à la recherche de meilleures opportunités, de conditions de travail plus flexibles, ou pour aligner leur emploi sur leurs valeurs personnelles. Toutefois, bien que cette pratique soit de moins en moins stigmatisée, certains recruteurs continuent de percevoir ces parcours comme des signes de déloyauté ou d’instabilité professionnelle.