Avec l’automne qui commence, ça me donne envie de te parler du changement. Et de l’état d’esprit autour du changement.
J’ai longtemps voulu être plus heureuse dans mes relations, plus épanouie professionnellement, en meilleure forme physique… et sous-entendu « tout le temps », « en continu » : sans qu’un seul nuage ne vienne troubler ça !
Ce que vient nous rappeler ce changement de saison, c’est que rien ne dure tout le temps.
Qu’il y a toujours des périodes mieux et d’autres moins bien,
des hauts et des bas,
du calme et de la tempête,
du jour et de la nuit,
des étés et des hivers…
des expansions et des contractions.
Nous en vivons tous les jours des petites comme notre respiration ou notre digestion.
Et d’autres durent plus longtemps : plusieurs jours / semaines / mois. Comme les marées ou les saisons.
Ce qui nous permet de comprendre qu’il s’agit de cycles : aux hauts succèdent les bas qui sont suivis par d’autres hauts.
L’été est toujours suivi par un automne, puis un hiver et un printemps. Etc.
Il est donc vain de souhaiter être toujours « en haut » (épanoui.e, en forme, dans la réussite…), car ce n’est pas comme ça que toute chose en vie fonctionne.
Et cela pour :
🍁 Mieux accepter les phases de « bas »
🍁 Intégrer qu’elles seront suivies par des phases « en haut »
🍁 Et apprendre à surfer l’alternance de ces périodes, pour mieux les vivre.
🧡
Comment expliquer un parcours professionnel « instable »
Le changement fréquent d’emplois est de plus en plus courant, notamment chez les jeunes générations. Les travailleurs de la génération Y (millennials) et Z changent plus fréquemment de travail à la recherche de meilleures opportunités, de conditions de travail plus flexibles, ou pour aligner leur emploi sur leurs valeurs personnelles. Toutefois, bien que cette pratique soit de moins en moins stigmatisée, certains recruteurs continuent de percevoir ces parcours comme des signes de déloyauté ou d’instabilité professionnelle.