Septembre, sa rentrée et son lot de reprises et de résolutions.
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De mon côté, je suis rentrée hier et depuis, j’expérimente un blocage.
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Je vois la résistance en moi à me lancer dans de nouveaux projets, à proposer de nouveaux formats d’accompagnement, comme des ateliers ou des programmes en ligne par exemple.
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Une part de moi se dit que je pourrais tout à fait continuer à faire ce que je fais : du coaching individuel. Ça marche bien et j’aime vraiment ça !
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Mais j’aime aussi la variété et la nouveauté (#multipotentiel). Alors il y a cette autre part de moi qui a envie de vous proposer d’autres formats d’accompagnement.
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Et maintenant, c’est la reprise, plus moyen de me planquer en vacances et je ne trouve pas le bouton ON.
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Je ne fuis pas dans une activité autre (avant, dans ces moments-là, n’importe quelle tâche ménagère ou administrative devenait attrayante).
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Je regarde ma résistance. Elle me regarde. On se regarde.
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J’ai mentalement devant moi toute la palette des choses que je peux faire pour passer à l’action.
Pourtant je ne saisis rien de tout ça.
Qu’est-ce que j’attends ?
Est-ce que je me complais dans cet espace de latence ?
Non, j’ai la sensation de l’accueillir.
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Pour m’aider à faire mon prochain pas dans l’expression de mon potentiel, je vais revenir à la base et clarifier ce que je veux pour mon activité.
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Action : mettre une musique qui apaise mon mental et écrire.
Poser noir sur blanc là où je veux aller, ce que je veux vivre.
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Suite au prochain épisode 😉
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Et toi, que fais-tu pour avancer sur ton projet (pro ou perso) quand tu te sens dans une impasse ?
Comment expliquer un parcours professionnel « instable »
Le changement fréquent d’emplois est de plus en plus courant, notamment chez les jeunes générations. Les travailleurs de la génération Y (millennials) et Z changent plus fréquemment de travail à la recherche de meilleures opportunités, de conditions de travail plus flexibles, ou pour aligner leur emploi sur leurs valeurs personnelles. Toutefois, bien que cette pratique soit de moins en moins stigmatisée, certains recruteurs continuent de percevoir ces parcours comme des signes de déloyauté ou d’instabilité professionnelle.