Hier, je te partageais comment, en divisant tout ce que je souhaite faire (chaîne YouTube / podcast, webinaire…) en mini-tâches et en les planifiant précisément, j’avais réussi à sortir du cercle vicieux de la procrastination.
.
Et bien, je me suis dit qu’on peut faire un parallèle intéressant avec le coaching.
.
Le voici :
1. Ce qui te motive à te faire coacher est que tu vis une situation insatisfaite, ex. : tu t’ennuies à mourir dans ton boulot.
.
2. Tu ne parviens pas à sortir de cette situation, car tu ne sais pas ce qui te plairait de faire. Et tu tournes en rond, comme quand tu procrastines.
.
3. Alors, en coaching, on travaille ensemble à faire de la clarté sur une activité kiffante pour toi : qui t’apportera de la sérénité, qui sera adaptée à tes forces et sensibilités, etc.
Ça, c’est le gros objectif qui peut t’impressionner (et réveiller plein de peurs/complexes/autocensure… mais c’est un autre sujet 😉). Et ce gros objectif peut t’amener à penser : par où je commence maintenant ? Là aussi, la procrastination peut clairement t’attendre au tournant.
.
4. On détermine alors ensemble les étapes pour atteindre ton objectif, comme autant de marches sur l’escalier de ton épanouissement.
Et ensuite, on peut encore les diviser en tâches plus petites.
Car l’objectif du coaching est que tu atteignes le tien d’objectif… Et non que tu procrastines !
.
Est-ce que ce parallèle te parle ?
.
Tu peux me partager, si tu le souhaites, ce que tu veux changer dans ta vie actuellement dans le questionnaire que tu trouveras ici :https://goo.gl/forms/hDmr53flm56eITTo1
Merci d’avance 😊
Comment expliquer un parcours professionnel « instable »
Le changement fréquent d’emplois est de plus en plus courant, notamment chez les jeunes générations. Les travailleurs de la génération Y (millennials) et Z changent plus fréquemment de travail à la recherche de meilleures opportunités, de conditions de travail plus flexibles, ou pour aligner leur emploi sur leurs valeurs personnelles. Toutefois, bien que cette pratique soit de moins en moins stigmatisée, certains recruteurs continuent de percevoir ces parcours comme des signes de déloyauté ou d’instabilité professionnelle.